Mai 2024
Les études notariales qui n’ont pas eu le temps de se faire une clientèle patrimoniale et sont de fait très exposées à l’immobilier jouent leur survie. Pour les autres, de forts ajustements restent nécessaires pour traverser cette crise d’une ampleur inédite depuis trois décennies.
Pascal JULIEN SAINT-AMAND, notaire à Paris et président du groupe Althémis, témoigne dans la revue Droit & Patrimoine : « Pour nous, l’immobilier courant représente environ 50 % de notre activité, ce qui est sensiblement inférieur à la moyenne de la profession. Nous avons développé une activité de transmission d’entreprise qui résiste très bien actuellement . »