L’assurance-vie est dotée d’avantages successoraux exceptionnels à la fois sur le plan civil et fiscal. Comment en profiter pleinement sans prendre de risque pour transmettre à ses proches ? Sophie GONSARD, notaire Althémis Le Vésinet, répond aux questions d’Intérêts Privés :
- Je souhaite favoriser l’un de mes enfants. Est-ce possible avec un contrat d’assurance-vie ?
- Puis-je me contenter de la clause bénéficiaire standard dans mon contrat ?
- J’ai réalisé des versements sur les contrats dont mes enfants sont les bénéficiaires. A mon décès, combien puis-je leur transmettre sans rien devoir au fisc ?
- L’assurance-vie est-elle la solution la plus efficace pour protéger mon conjoint ?
- Quel est l’intérêt d’un démembrement de la clause bénéficiaire ?
- Vivant en union libre, je souhaite verser les capitaux à mon concubin en cas de décès. Quelles sont les précautions à prendre ?
- Nous sommes mariés sous le régime de la communauté réduite aux acquêts. Quelle est l’incidence sur nos contrats d’assurance-vie ?
- Puis-je renoncer à un contrat d’assurance-vie au profit de mes enfants ?